VI
- Blut Aus Nord (2013)You are listening to the song VI by Blut Aus Nord, in album What Once Was... Liber III (EP). The highest quality of audio that you can download is flac . Also, you can play quality at 32kbps, view lyrics and watch more videos related to this song.
Lyrics
Bénie soit ta lumière qui fait briller mes ténèbres et illumina l'abîme afin que j'y sombre enfin de toute mon âme souillée. Bénie soit-elle, cette splendeur édifiante, dont l'éclat donne naissance par cette ombre et découvre le gouffre. Ils se nourrirent de sa chair, de ses mots et de son sang. Croyant se libérer, ils se soumettaient. Ils étaient cette chair et ce sang sans l'éclat, des poussières d'astres en souffrance désirant un dieu aux ordres. Ils étaient l'homme dans toute sa terreur, devenus déments devant les portes closes du royaume des cieux, d'un ciel enténébré, ciel de cendres et d'égos mortifiés. Le chaos succédait au chaos. Dans cette ronde des fous, ils prirent place sur le trône du sauveur et singèrent ses mille visages. À l'heure perdue du répit des consciences, piétinant le dernier asile des prophètes, ils maudirent cette abomination absolue, dont le cynisme avait offert... la raison et la mort. La grande folie de Jérusalem ébranlait le tréfonds des êtres. Commençait alors une authentique douleur, voluptueuse et sans fin.
[English translation:]
Blessed be your light that makes my darkness shine and illuminated the abyss so I finally stained dark with all my soul. Bless her, this uplifting splendor, whose brightness gives birth this shadow and discovers the gulf. They fed on his flesh, his words and his blood.
Believer release, they submitted. They were the flesh and blood without glare, dust of stars overdue wishing god orders. They were human in all its terror, became demented before the closed doors of the kingdom of heaven, a darkened sky, sky ash and egos mortified. Chaos
succeeded in chaos. In this round of crazy, they sat on the throne of his savior and singèrent thousand faces. In respite lost consciences, trampling the last refuge of the prophets time, cursed this absolute abomination, whose cynicism offered ... reason and death. The
great folly of Jerusalem shook the depths of beings. Then began a genuine pain, voluptuous and endless.
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