Cités Mortes
- Valuatir (2013)You are listening to the song Cités Mortes by Valuatir, in album Exobnos. The highest quality of audio that you can download is flac . Also, you can play quality at 32kbps, view lyrics and watch more videos related to this song.
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Lyrics
Je vous observe, serein
Vous et vos symboles fades
De ricjesse et de gloire
Asservissement et soùmission
Vous opprimez ces terres
Alors que vous en êtes indignes.
Vous avez construit de grandes cites
Embellies de temples colorés et d'idoles de marbre
Mais quatre siècles ont fallu
Pour engloutir votre arrogance
Sous le poids de la poussière et de l'oubli.
C'est quand j'erre dans vos rues désertes
Que je mesure le poids de votre vanité
Et ceux qui vous ont nourri hier
Sèment les graines de l'ignorance sur vos sols de porphyre.
Les hivers sont plus rudes
Les moissons sont plus maigres
La necropole s'est agrandie
De nouveaux dieux sont nés.
La mer se retire lentement
Les marais apportent la mort
Des signes prédisent de grandes guerres.
Certains se soulèvent
Proclament leur empire
Puis s'écroulent rapidement
Sans même construire de palais.
Les rois de l'est se pavanent
Grotesques et fards
Jrronique et pâle pastiche
Des empereurs déchus.
400 années se sont écoulées
Pas assez pour détruire le souvenir
Postumus et sablinus ont brisé les lois
Des signes avaient prédit de grandes guerres...
Faste des premiers siecles
Toits rouges et idoles d'onyx
N'a pas su survivre
Aux premiers hivers trop rudes.
Rauranum la pourrie
Vindobriga la déchue
Les riches vici s'étouffent en silence
Briva l'arrogance
Qui défiait la civitas
Protège ses derniers parvenus
Dans leurs, anteaux dorés.
Seuls dans leur cité vide
As voient le feu se repandre
La roue a desormais tourne
La terre va bientôt les recouvrir.
C'est quand j'erre dans vos rues desertes
Que je mesure le poids de votre vanité
Et ceux qui vous ont nourri hier
Sèment les graines de l'ignorance sur vos sols de porphyre.
A en sera ainsi des villes de demain
Après aue la fa,ine ait fait son oeuvre
Je m'égarerai avec joie
Dans les rues de vos cités, ortes.
Vos cités mortes...
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