Le givre a figé le printemps cette route est si longue
Dans un grand silence, la voix des corbeaux se fait entendre
La marche éloigne de la mort ne jamais s arrêter
Ô toi qui mes promise as-tu nourri le feu du foyer?
La nuit tombe vite, les craintes naissent et meurent aussitôt
La route est sûre le talon les crase avec me pris
Car depuis le sommeil du tertre il y a des pensées
Qu il n'est plus jamais permis d'avoir.
Trois jours avant de passer la rivière
Et nous rêverons d'autres soleils
Trois jour pour sortir du territoire
Alors que la bruyère paraît plus immaculee.
Dans une caverne vit une vieille femme
Qui connait le temps où la Roue d'Argent était jeune
L'tre est si accueillant et les paupières si lourdes
Entre l'a me dit-elle je connais ta verité par le mensonge.
A toi de comprendre ce que tes oreilles peroivent.
Je connais le souffle des morts
J'ai dormi trois années dans la nécropole
Regarde avec moi ce que mon creuset révèle
Crois-tu qu'il n'y a que ce que tu vois qui est fig par l'hiver
Un lointain souvenir ne garde rarement le foyer de lintérieur
Passé le pont, a la croisée des chemins de terre
Tu périras près de l'herbe qui graine sans fleurir.
"Sans jamais avoir pu treindre ce pour quoi tu es parti"
Alors que le matin naît derrière les collines
L'âtre n'etait plus que cendres mlodorantes
La hutte nétaitque rume et le lierre l'envahissait
Je repris ma route avec dans le coeur la crainte
De ne jamais revoir les yeux de mon aimée.
Vieille femme de la lande
Maudites soient tes paroles
J'entends dejà le rossignol
Le signe d'amour mauvais.
Vieille femme de la lande
Maudites soient tes paroles
Près de l'épine leau chante sous la glace
Et je vois je vois un ciel si blanc.
Avant que les corbeaux ne me rendent aveugle à nouveau...
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